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Notre génération est constamment influencée par l’environnement qui nous entoure. Malgré nous, nos opinions et perceptions se voient être teintées par les milieux physiques et virtuels auxquels nous sommes exposés. ...
Par l’avènement d’Internet, nous ne sommes plus limités à la culture de notre milieu direct.
Nous avons grandi dans une ère électronique et nous vivons présentement dans un village global. Les relations intrapersonnelles et interpersonnelles peuvent prendre plusieurs formes.
Notre génération est confrontée à un fardeau social bien différent de celui des générations précédentes. Ultimement, l’hystérèse culturelle illustre la grande ouverture de notre génération sur le monde.
Ce qui sépare les choses, ce qui définit certains lieux, l'intérieur, l'extérieur et tout ce qui entoure notre planète. ...
Avec de nombreuses façons de le définir, l'espace est partout et se retrouve dans le monde matériel que nous visualisons. On oublie souvent la dimension du temps lorsque l’on pense à la conception de ces structures et à la croissance de l’environnement dont elles font partie.
Avec la photographie, nous partageons notre regard sur ces milieux urbains. Cela nous permet de situer dans le temps ces géants intemporels face à nos courtes vies humaines.
Les effets du temps sont les plus apparents quand ils sont matérialisés dans notre quotidien. ...
En posant leur lentille sur des objets culturels, technologiques et idéologiques, ces photographes réfléchissent sur notre rapport physique au temps.
À leur manière, les médias sont des lentilles à travers lesquelles nous interprétons l’univers. Des espaces de transition et de traduction.
L’influence des technologies et de la virtualité sur notre rapport au monde y sont frappantes, autant les progrès qu’elles apportent que leurs aspects plus discutables. Si les objets s’usent et se voient remplacés ou mis à jour, qu’en est-il de nous et de notre rapport au monde?
